mon topic inutile

Administrateur...mon cul ouais. "Vous n'avez pas le droit d'administrer ce forum". Pourtant j'ai essayé

la photo de karl lagerfeld c'est un jeu de mot sur "queue de cheval" ?

Et pis t'es admin

hiep, singe-lion, la question de l'adminstration a été posée à moult reprises et, à chaque fois, la réponse est la même : "t'es sûr... Ah bon, bon je vais regarder ça, pourtant j'étais sûr que..."

J'aurais pu poster ça dans "le con d'or du jour" aussi.

PS1. Je suis pas sûr de l'info, mais apparemment, le douc' est allé à New York. A confirmer.

PS2. La permanence locale de l'UMP a été vandalisée...

PS3. Autant d'infos dans un post, j'en connais qui auraient muliplié les contributions, mais je donnerais pas de nom. Mais bon, soyons beau joueur, c'est gratuit : http://jemetsdesliensalapellememesisurmacos902onpeutpaslesouvrir.com
(t'as de la chance d'avoir mal aux dos et des lunettes rockrider sur le nez, sinon je t'aurais donner la puntion que tu mérites (et quand on sonne tu peux répondre aussi)

euh non en fait je suis allé à New York.
Faut pas tout mélanger

OUIIII C'EST FRANKLIIIIN
IL A PLEIN D'AMIIIIIIS

Faisez pas gaffe, c'est juste une sauvegarde...

Singe-Lion from the Dead a écrit:

En ce moment, j'aimerais bien voir des films de zombies. Je compte sur vous pour balancer des titres

Dawn of the dead (ZOMBIE) de George Romero 1978
Dans ce film, pas d'explication à pourquoi des zombies ou comment sauver la planète ? Les morts reviennent et un petit groupe de 4 personnes va devoir survivre, trouver un abris et de la nourriture, tout en évitant les zombies mais également les pillards. Et quel meilleur refuge qu'un centre commercial ?

28 jours plus tard - Danny Boyle 2002
Ok, techniquement ce n'est pas un film de zombie étant donné que les personnes sont frappées de rage animale. Mais l'ambiance est là. Dans un Londres déserté par la population, un jeune homme se réveille d'un coma. Sa seule chance de survie : quitter ce lieu où les nuits sont hantées par la présences des "victimes".

Land of the Dead - Georges Romero 2004
Une histoire un peu poussive, une ambiance pas vraiment réussie, des zombies intelligents, un film assez moyen. Le pire étant que les zombies ont dans ce film une personnalité...On y trouve le chef des zombies qui mène ses troupes à la revanche parce qu'il n'a pas apprécié que les vivants tuent des potes à lui.

Alors que ce qui fait l'ambiance du bon film de zombie c'est leur nombre, leurs actions non coordonnées, le triomphe de la masse sur l'individualité.

Des zombies intelligents et organisés, ca me fait un peu mal au cul quand même.

Et en plus je confondais Land of the Dead avec Dawn of the Dead (l'armée des morts en french) qui est un remake de Zombie...Au programme Night of the living Dead, la version 1990 de Tom Savini, épisode qui précéde Zombie, et j'essairai de voir sa version originale de 1968 avec Georges romero aux manettes, et pour finir Day of the dead de 1986, toujours de Georges Romero, pour se remettre dans le coup avant la sortie en salle de Day of the Dead le remake par Steve Miller qui doit sortir cette année.

Et quand j'aurais vu tout ça, je retournerai dans ma tombe
MOUHAHAHAHAHAHAH (visuel je marche tout saccadé à 2km/h)

Je sais, c'était fait exprès, c'était pour montrer que le film de zombie c'est une petite famille et que les remakes de films de zombie sont une institution, tout le monde y participe.

Pour exemple, Georges romero était en 1990 producteur executif du remake de son propre film sorti en 1968. Remake realisé par Tom savini qui n'était autre que le responsable des effets spéciaux (sang et arrachage de membres en tout genre) de ses films de 1978 et 1986.

Je vais voir également Le survivant avec Charlton Eston, de 1970, tiré du bouquin de richard Matheson Je suis une légende (excellent bouquin, lisez le) dont une nouvelle adaptation sortira cette année. Le thème de ce bouquin est encore plus énorme, imaginez l'humanité décimée par une bactérie, les morts se réveillent. Il ne reste plus qu'une personne, le dernier des mohicans de la race humaine. Et chaque nuit, ses anciens voisins devenus morts vivants viennent défoncer son abris de fortune pour lui faire des guili-guili sanglants et le ramener à leur cause.

buzz donne moi des films de zombie ou je te mange un bras

Dawn of the dead (l'armée des morts) - Zack Snyder 2003

Pour dépoussierer la version 1978, les gros moyens sont sortis. Dans ce film, les survivants se frayent un chemin au milieu d'une marée de zombies en faisant sauter des bouteilles de gaz. Aux grands maux, les grands remèdes.

Le charme un peu kitch et desuet de l'original a été remplacé par les axes classiques du film d'angoisse moderne. Les survivants sont nombreux, chiants, ils s'aiment, se trahissent, s'abandonnent, se sauvent la vie. Dès que possible, ils se séparent en plusieurs groupe, et à chaque fois se font surprendre.

Là où l'original mettait en avant la débrouillardise et l'organisation de 4 personnes, cette version s'égare en analysant les états d'âme d'un échantillon représentatif (taille, poid, age) de la population. On retient au final les 20 premières minutes impressionnantes (ahh j'adore le chaos) et les zombies entrainés par john smith (ils courent, mes amis !).

Sans surprise mais bien réalisé, un film pour le enfants de 7 à 177 ans (m'en fout ca veut rien dire...)

ahhh , 'ai pas vu de film de zombie depuis 2 jours, je suis en manque

The omega man (Le survivant) - Boris Sagal 1970

Zut, le topic sur les film de zombies va partir en yecou mais s'pas grave. Parce que là, je méloigne un peu du sujet. J'ai pas trop reconnu cette adaptation cinematographique du bouquin de Matheson ('tin faut que je le relise ce bouquin, nom d'une pipe).

Alors que dans mon souvenir, le gars luttait chaque nuit dans son abris contre des hordes de morts vivants, je viens de voir Charlton Eston dans son loft tout equipé, légèrement emmerdé par une secte anti-machine et anti-progrès, des gars habillés d'une bure de moine et des lunettes de chips (chips...la série avec punchorello...tu comprends rien ou quoi ?)

Bon, je veux bien faire abstraction du fait que le héros n'est plus seul mais accompagné (le gars qui parle tout seul, ca va un moment) mais merde, il fallait faire quelque chose pour les costumes et les coiffures...Jamais Matheson aurait écrit un roman avec des mecs aussi mal habillés, genre : bleu de travail + casquette de l'armée de l'air = grand n'importe quoi. Putain d'accessoiriste...

Bon, je fais le calcul : cette histoire modifiée n'a pas gagné au change mais la morale est sauve, la fin propose une touche d'espoir (un jour au coin du feu je vous raconterai la fin originale).
Ouch, j'allais oublier, la musique est...(insuportable ?) tellement omniprésente qu'on est content quand elle s'arrete. Je suis sûr que l'accessoiriste est dans le coup.

Un film pour les fans d'orgue et des jackson's five.

Je retire tout ce que j'ai dit de mal, j'aime pas me moquer des gens qui ne sont plus de ce monde. Le compositeur sur ce film est Rob Grainer, connu pour avoir produit les thèmes des séries TV Docteur Who et Le prisonnier.
Maintenant que j'y repense, ce qui me choque le plus c'est que la musique colle vraiment difficilement au film, même en tenant compte du contexte, début des années 70. En un sens, ca fait vraiment de ce film un truc à part, un peu ovni.

Le cd du film The omega man a été sorti à 3000 exemplaires, c'est maintenant une pièce très rare.

Day of the dead (Le jour des morts vivants) - George Romero - 1986

Je suis déçu. Il restait des choses à faire dans cette série et là je reste sur ma faim. La moitié de ce film est chiante et sans intéret. Sa thèse est simple : en période de crise (ouragan, invasion de zombies, pénurie de shit, etc...) les survivants n'auront besoin de personne pour s'entretuer, d'autant plus s'ils portent un treillis.

Quelques bonnes images, des maquillages signés Tom Savini top boulette et notamment une scène génial du zombie qui shoote un soldat puis lui fait un salut militaire, avant de sortir de la pièce en moonwalk (nan...j'déconne pour le moonwalk).

La musique très synthés 80's (le sample du début a été utilisé sur le premier album de Gorillaz pour l'intro du morceau M1A1), souvent oppressante, par contre carton rouge pour la version française, digne d'une classe théatre, et l'interprétation assez insignifiante.

Un film pour les fans de huis-clos oppressants (ou pas).

Night of the living dead (La nuit des morts vivants) - Tom Savini 1990

Voilà un film rondement mené. Court (1h20) mais intense, sans temps morts. La pression zombiesque explose dès la fin du générique, pour ne plus laisser de repos jusqu'à la fin.

Pas de gore dans cet épisode, pas de gorges ou de membres arrachés (bon ok juste un ou deux), mais l'assaut ininterrompu de zombies sur une bicoque isolée dans laquelle de pauvres hères ont eu la mauvaise idée de chercher refuge pour la nuit. Ok, ils marchent lentement, mais quand leur nombre dépasse le nombre de cartouches dont on dispose, il vaux mieux avoir un sérieux plan B.

Le film n'a pas vielli, son intro te collera le cul au canapé tant l'ambiance est haletante. Toute l'action se déroule dans 500m2, tout se joue en une dizaine d'heures, ce qui renforce encore le coté urgence du film. Pas le temps de s'organiser, tu fous n'importe quoi pour mettre un mur entre tes carrotides et les visages palichons.
Tom Savini offre un superbe remake sous la supervision de George Romero.

Un film pour les amateurs de chef d'oeuvre du genre.

Night of the living dead - George Romero 1968

J'ai enfin vu l'original. Sorti en 1968, en noir blanc, son budget était sans doute équivalent à 45 secondes de star wars. Pas ou très peu d'effets, genre "toi le grand avec la tête bizarre viens tu vas faire un zombie", le film n'en reste pas moins très prenant, malgré quelques faux raccords ou ombres mal gérées.

Plus tranquille que son remake de 1990 (cf post précédent), il est aussi beaucoup plus noir, moins conventionnel et la fin est tout simplement...surprenante (surtout quand on a vu le remake avant).
Le parallèle entre les deux films est simple. Une grande partie est clairement identique, mêmes personnages, mêmes lieux, mêmes scènes, mêmes plans ! Mais c'est lorsque l'histoire bifurque que cela devient intéressant, choisissez votre fin (couleur ou noir&blanc ?).

Un film pour les fans de films de zombies en noir et blanc des années 60 originaux.

Santo contre les zombies

Mex. 1962. Science-fiction de B. Alazraki avec Armando Silvestre, Jaime Fernandez et Lorena Velasquez. Un catcheur entre en lutte contre les créatures d'un savant fou. Le commentaire que j'ai trouvé sur le net dit simplement : "science-fiction à rabais. Scénario simpliste. Mise en scène minable. Interprétation sans relief." Nonobstant cette critique que je reçois sans animosité aucune, je tiens à dire que, pour avoir vu un court passage de cette œuvre, je me souviens d'une scène assez captivante où Santo circule en voiture en rase campagne. Soudain, dans une clairière, la présence d'une série de zombies particulièrement virulents l'oblige à stopper son véhicule. Il descend, assène deux ou trois atémis à quelques zombies à sa portée puis n'hésite pas à grimper sur le capot du bloc moteur pour parvenir, dans un paysage a priori peu adapté, à se jeter sur un groupe de fâcheux comme il l'eût fait de la troisième corde sur le ring.

J'ai un souvenir assez douloureux de Cannibal Holocauste (Ruggero Deodato / 1980)...
Rien que d'y penser, j'ai encore envie de gerber !

Mais on s'éloigne un peu du sujet là.

mixer films de zombies et films de catch, voilà une idée fort ambitieuse !

Réveil petit emule ! Cours me chercher cette perle, petit âne de compagnie !

(merde j'ai déjà épuisé mon quota de ! pour le mois de septembre)

Et merde, une mauvaise nouvelle au boulot et je me suis transformé en zombie. Faich' !!!!

Ultimate zen Singe-Lion a écrit:

Et merde, une mauvaise nouvelle au boulot et je me suis transformé en zombie. Faich' !!!!

je crois que moi c'est pareil à moins que ce soit (odin, odin) qui m'ait contaminé...


ça m'apprendras... la prochaine fois que tu m'approches, je te jette des cds-shuriken ou tout autre objet à ma portée... Par contre, j'évite de me réfugier dans un centre commercial, ça ne me réussit pas des masses, en général... (bcp de private joke à 2 balles... désolé, c'est le début de semaine).

Mon nez subit actuellement une phase de calcification généralisée.
Demain je devrais respirer par les oreilles.

mais... pffff... non... mais.... comprends pas.... trop de... pffff.... je vais me faire un cross.... et prendre la tangente...